Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 23:02

 

Une trilogie vraiment sympa,

Une couverture de livres de poche vraiment agréable

avec ses couleurs vives et ses dessins d'inspiration tribale...

Légèreté, gaieté, intrigues...

Le succès de ces livres est maintenu depuis 2006 et pour cause !!

Un Bravo à Katherine Pankol !

 

 

      (GIF)

.
Le roman "les yeux jaunes des crocodiles"a obtenu le Prix Maison de la Presse en 2006.

 

Résumé du 1er : "Les yeux jaunes des crocodiles"

 

Ce roman se passe à Paris.
Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes,
celles que nous voudrions être,
celles que nous ne serons jamais,
celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l'histoire d'un mensonge.
Mais aussi une histoire d'amours,
d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c'est la vie.

 

Gif animal tortue 183861


Résumé du 2ème : "La valse lente des tortues"

 

Ce livre est une bourrasque de vie...
Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser…
Deux bras qui enlacent ou qui tuent…
Un homme inquiétant, mais si charmant…
Une femme qui tremble et espère ardemment...
Un homme qui ment si savamment…
Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour…

Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants…
Un père, là-haut dans les étoiles…
qui murmure à l’oreille de sa fille...
Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage…
Des personnages qui avancent obstinément...
Comme des petites tortues entêtées…
qui apprendraient à danser lentement, lentement…
dans un monde trop rapide, trop violent...



(GIF)

Résumé du 3ème : "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi"

 

Souvent la vie s’amuse. Elle nous offre un diamant,

caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau.

Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails.

Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.

Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe

ou font gicler le gravier, ignorent les détails.

Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant,

ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou,

une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps,

on découvre des diamants dans une main tendue…

Et la vie n’est plus jamais triste.

Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…



Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Domi
  • : idées, pensées, images, humour, avis,...en vrac. Petits jeux et trouvailles de toutes sortes.
  • Contact

" Prendre son temps sans temps "

Recherche

Pages